Nous, éleveurs

Qui es-tu et d’où viens-tu ?

Bonjour, je m’appelle Romain et j’ai 31 ans. Je suis éleveur de veaux dans la démarche « Le Veau de nos Eleveurs » dans la commune de Geay, dans le nord des Deux-Sèvres.

Depuis quand es-tu éleveur de veaux ?

Je me suis installé en 2013, ça fait donc 7 ans que je suis éleveur.

En quoi consiste ton métier ?

Pour résumer, mon métier consiste à élever des veaux. C’est-à-dire s’occuper de leur bonne alimentation, de leur santé et de leur bien-être.

Pour toi c’est quoi une bonne alimentation ?

Une bonne alimentation c’est leur offrir des repas équilibrés et réguliers. Pour ça, on a choisi une alimentation française, sans OGM, sans huile de palme ce qui nous permet de répondre à la démarche Bleu-Blanc-Cœur.

Finalement cette bonne alimentation riche en produits laitiers permet d’assurer leur bonne santé et donc leur bien-être !

Qu’est-ce que tu préfères dans ton métier ?

Sans aucun doute c’est le repas du matin ! Pour moi, c’est vraiment un moment privilégié que j’ai avec les veaux et en plus c’est le meilleur moment pour voir si tout se passe bien dans l’élevage.

Pour toi, qu’est-ce que le projet Le Veau de nos Eleveurs ?

Pour moi c’est une initiative d’éleveurs rassemblés en coopérative dans le but de se rapprocher des consommateurs et valoriser notre travail quotidien c’est-à-dire mettre en avant notre métier. Et pour moi je pense que cette démarche permet la juste rémunération de notre travail et ce qui peut nous permettre à, nous éleveurs, d’améliorer le bien-être des animaux même si on y travaille déjà beaucoup.

Qu’est ce qui te motive le plus dans la démarche le Veau de nos Eleveurs ?

Ce qui me motive le plus c’est de pouvoir se rapprocher des consommateurs et de leur faire voir ce qu’on fait dans nos élevages et qu’on puisse se mettre dans une démarche positive.

C’est quoi ton produit préféré ?

C’est le steak haché ! Bien saisi à la poêle puis à feu doux pour une cuisson rosée à cœur ! C’est le top pour faire les burgers de veau ! Quand j’invite des copains à la maison, c’est ce qu’ils me réclament !